Un problème de listes électorales divise actuellement les deux camps convoqués par le Comité national olympique ce vendredi aux fins de conciliation. Ils ont été envoyés en toute responsabilité à choisir la solution qui sauve le judo gabonais.
A quelques heures de l’élection de la Fédération gabonaise de judo (Fégajudo) notamment ce samedi 1er octobre, la tension est vive au sein de cette discipline sportive qui fait si bien la fierté du pays. Au centre du malentendu, une affaire de listes électorales.
Deux listes sont en circulation comme collège électoral. Celle des clubs (28) dite consensuelle car ayant été établi par le Comité ad hoc, dirigé par l’ancien président André Angwé, et signée par les deux clubs le 14 septembre dernier. Une autre liste (40), déposé par le SGA de la fédération au ministère des Sports et qui vient tenir compte de tous les clubs réguliers mais injustement écartés lors de la rencontre de la Comité ad hoc.
Car jeudi matin, les 12 clubs lésés ayant saisi le Comité olympique aux fins de conciliation conformément à l’article 62 des statuts de la Fégajudo, ont obligé l’institution à convoquer les deux parties ce vendredi matin.
Au terme de l’échange des informations entre les différentes parties, le Comité olympique leur aurait demandé de toiletter rapidement ce volet en toute responsabilité. Autrement dit, aller à une élection avec un tel malentendu ne ferait pas du bien à la fédération.
Selon nos informations, une déclaration est attendue ce soir pour fixer les uns et les autres sur cette journée du 1er octobre.