Cités dans l’enquête du journaliste, Romain Molina, les deux dirigeants du tennis gabonais sont accusés d’abus sexuel et chantage sexuel sur mineurs depuis les années 2000.
Depuis le 25 janvier dernier, la liste des détenus préventifs pourrait s’alourdir dans quelques jours à la prison centrale de Libreville. Après la bande à Capello dans le football, Me Chaka dans le taekwondo, c’est autour de deux autres présumés pédophiles d’être en garde à vue à la direction générale de la contre-ingérence et de la sécurité militaire ( B2) pour enquête.
Les deux dirigeants, Jean Komi Vivon et Dandhy Poaty, sont accusés d’abus sexuel et chantage sexuel sur mineurs depuis les années 2000.