Décédé le 3 novembre 2021, l’ancien entraîneur national des cadets-juniors a reçu ces hommages samedi dernier au Judo Club Gena dont il était responsable depuis plusieurs années.
C’est autour du président fédéral, Me Willy Nguéma, et en présence de plusieurs parents, amis et connaissances que la grande famille du judo s’est retrouvée samedi dernier pour rendre un dernier homme au défunt Maître Guy Patrick Ibrahim Manfoumbi, décédé le 3 novembre dernier à Libreville.
Hommages mérités pour le travail accompli pour cette discipline sportive, « nous sommes là pour le remercier et témoigner de notre reconnaissance », a déclaré le président fédéral.
« Homme sincère et téméraire dans ses choix », « homme de bien et dévoué pour le judo », sont les traits communs des témoignages que chacun a reconnu en l’ancien entraîneur national des cadets-juniors, ancien directeur technique de la province de l’Estuaire et ancien responsable du Judo Club GENA.
C’est d’ailleurs pour ce dévouement pour ce club qui a tant honoré la gendarmerie nationale que le doyen du judo gabonais, Me Georges Mandjombé, inquiet de la possible disparition du club, a sollicité que le dojo de camp Gros Bouquet porte désormais le nom du défunt Me Ibrahim.
Au terme de la cérémonie, non seulement la Fégajudo a fait un geste de soutien aux orphelins mais elle a aussi élevé Me Ibrahim au grade de 4ème dan à titre posthume.