Le responsable U16 et du minibasket national appelle plutôt à un soutien aux structures de formations et à une véritable politique sportive.
En séjour en Egypte dans le cadre de l’Afrobasket U16, Laurel Lémiguy a vécu en direct l’humiliation des équipes U16 du Gabon. Contrairement à beaucoup d’autres basketteurs, le responsable U16 et du minibasket national, pense que le mal du basketball gabonais aurait une autre source.
S’il reconnaît que « c’est la compétition qui prépare la compétition », pour lui, « il est important de rappeler que nos centres de formations non pas de soutien, notamment les moyens financiers et matériels pour pouvoir mieux organiser nos formations et développer les capacités de nos jeunes ».
Si tel est donc le cas M. Lémiguy souhaite que « le ministère des Sports mette en place des partenariats après recensement des centres de formation puis faire des contrats d’objectifs avec ces associations et par la suite organiser des compétitions de ces centres ».
L’expérience d’autres pays aidant notamment le Mali dont la capitale, Bamako seul compterait « 52 centres de formation à Bamako avec au compteur 2 matchs minimum par semaine sinon 3, avec une véritable politique sportive celle qui vise à jouer les premiers rôles en Afrique et être le représentant de l’Afrique aux coupes du monde U17 et U19 ».