Selon nos informations, ils doivent leur libération à la demande du président de la Fégafoot, Pierre Alain Mounguengui. Mais qui a d’abord donné l’ordre de les arrêter ?
Gardés à vue à la gendarmerie de Bongoville, ville de casernement des Panthères du Gabon, pour avoir voulu aller rencontrer les internationaux gabonais membres de l’ANFPG, Stéphane Nguéma et les quatre membres de l’Association sont libres depuis quelques minutes.
Selon une source proche du dossier, ils ont dû leur libération à la demande du président de la Fégafoot lui-même, Pierre Alain Mounguengui, sur place.
Stéphane Nguéma et les siens libérés, mais est-il possible d’ouvrir une enquête pour savoir qui était le commanditaire de cette basse besogne car selon certains audios, le gendarme en poste à Bongoville aurait simplement exécuté des consignes ?
Selon nos informations, le président fédéral aurait démandé à la délégation de l’ANFPG de rester à Franceville pour suivre le match. Une réunion entre les deux parties serait déjà callée et très certainement une déclaration de presse commune après le match.
Mais à quelques mois de l’élection de la Fégafoot, et n’en déplaisent à nos détracteurs qui rôdent autour de lui, il va aussi falloir que le président fédéral recadre son entourage dans lequel tout le monde ne roulerait pas forcément pour lui.