Premier pratiquant de wushu candidat à la présidence de la Fédération, il estime connaître mieux la douleur des athlètes et appelle à un vote pour la relance de la discipline.
« A tous les délégués-électeurs !
La campagne s’est très bien déroulée et nous sommes restés sur notre ligne directrice, à savoir l’unité du wushu, entendu que le wushu est et restera une seule et indivisible famille.
Quand je prendrai la Fédération ce dimanche, j’entends reconstruire le wushu avec toutes ses forces vives et nous tenons à cela.
Vous connaissez mon slogan, à savoir « Le wushu par les pratiquants de wushu ». Depuis la création de la Fédération gabonaise de wushu, un pratiquant de notre discipline n’a jamais géré notre Fédération. Et les résultats, nous les connaissons tous.
On ne doit plus donner le wushu à ceux qui ne connaissent pas la douleur du wushu. Et moi je suis là comme garant des pratiquants de wushu. Je suis l’espoir du wushu et je reste convaincu que si on me perd encore ce dimanche, personne d’autre ne pourra mieux comprendre les pleurs des pratiquants que moi.
J’ai pleuré au départ du Pr Benza, il y a 20 ans aujourd’hui. Je viens à un moment où notre discipline se porte assez mal. Je ne peux plus laisser nos jeunes continuer de pleurer. Je veux refaire le wushu et cela est possible avec mon équipe. Et tous les délégués électeurs le savent très bien.
Chers délégués-électeurs.
C’est la première fois qu’un pratiquant de wushu est candidat à la présidence de la Fédération. Vous avez entre vos mains l’avenir de notre discipline. Ecrivons une nouvelle page de l’histoire de notre wushu en votant pour moi ce dimanche »