A la suite d’une sextape d’une de ses joueuses, mise en ligne dans les réseaux il y a quelques jours, le club oyemois pourra prendre une décision forte car se voyant certainement souillé par cette pratique proscrite dans nos us et coutumes.
Oyem AC ne veut pas cautionner, dans son sein, une pratique proscrite dans nos us et coutumes, à savoir les rapports intimes entre deux personnes du même sexe.
En effet, à la suite d’une sextape d’une de ses meilleures joueuses mais dont le nom n’a pas été cité; sextape mise en ligne dans les réseaux sociaux il y a quelques jours, le club oyemois pourrait prendre une forte décision mais pour le moment non encore élucidée.
C’est la teneur d’un communiqué du club ce mardi 7 avril qui estime déjà « qu’il s’agit d’un acte qui n’engage nullement sa responsabilité ». Les faits publiés s’étant déroulés hors du milieu sportif.
Par contre, poursuit le communiqué, « soucieux de la législation en vigueur, le club se réserve d’intenter des actions ultérieures » après les résultats de l’enquête diligentée par le parquet d’Oyem.
Et à côté de cette enquête, Oyem AC a déjà mis en place une commission de discipline afin d’ « investiguer et de déterminer les différentes responsabilités » de cette affaire qui ternit tout de même l’image du club.
Dur dur pour la jeune footballeuse qui est l’une des valeurs sûres de l’avenir du football féminin gabonais ! Mais si on peut extraire une dent qui fait pourrir toute la bouche, cela garderait tout l’organisme en bonne santé.