Cette année, c’est 17 pays dont la France, les États-Unis, l’Afrique du Sud, qui ont pris part à la compétition à Douala au Cameroun, pour près de 400 athlètes.
Après une prestation sombre aux Jeux Africains d’Accra récemment, cinq athlètes gabonais ont pris part ce samedi 6 avril 2024 au Grand Prix International de la CAA de Douala, un circuit continental mondial d’athlétisme qui attire beaucoup d’athlètes car unique au monde où le ranking est multiplié par 3.
Il s’agit de Carine Mekam Ndong (poids), Elca Ambourouet (hauteur), Franck Hoye Yenda Moukoula (100-200m), David Nguéma (400 m) et Linda Kevine Kouche (longueur).
Et cette année, c’est 17 pays dont la France, les États-Unis, l’Afrique du Sud, qui ont pris part à la compétition pour près de 400 athlètes.
Au lancer de poids dame, Carine Mekame a fait le record et a remporté l’or avec 15,80m contrairement à sa contre performance du Ghana où elle a fait 15,31m. Une médaille d’argent d’ailleurs ratée pour le Gabon aux JA car remportée par la Nigériane Oyesade Olatoye avec 16,61m.
Au 100m, Franck Hoye Yenda a été classé 3e avec un chrono record de 10″49 contre 10’’66 aux Jeux Africains d’Accra et aux 200m, il a fait 21’36, 4e au classement général contre 21’’55 à Accra.
400m, David Nguéma qui n’est pas beaucoup mis en lumière, à tord ou à raison, a réalisé les minima du championnat d’Afrique avec un chrono de 48″5 et classé 3e.
Quant au saut en hauteur, nous apprenons que la compétition n’a pas pu aller à son terme du fait de la barre qui s’est cassée à 1,95m. Et du coup, notre champion, Elca Ambourouet dont le record est de 2,10m, a terminé 2e avec la performance que son concurrent.
La dernière Panthère qui était au saut en longueur, Linda Kevine Kouche, a été classée 3e avec un saut de 5,65m.
Si donc dans l’ensemble le Gabon s’est bien comporté à cette prestigieuse compétition, le travail doit se poursuivre à la Fédération gabonaise d’athlétisme qui vient d’ailleurs d’enregistrer encore des nouvelles pépites au sortir des jeux de l’Ogssu.
One Comment
Gilles
Les pépites de L’OGSSU sont encore loin d’être au niveau national et international. Elles ne sont pour l’instant que des pierres brutes à tailler et à peaufiner