
Présent au Maroc pour disputer la 35e Can, l’international gabonais a tenu à exprimer son indignation face à l’assassinat du jeune Pascal Cameron, un crime de trop et appelle à des mesures strictes pour enrayer le phénomène au Gabon.
Sensible aux maux qui minent la société gabonaise, l’international gabonais, André Biyogho Poko, depuis Agadir au Maroc où il se trouve avec l’équipe nationale pour la Can 2025, a certainement perdu la concentration. Il vient encore de faire une sortie d’indignation contre les crimes rituels revenus avec force comme à une certaine époque.
En effet, suite à l’assassinat Pascal Cameron Ngueba Loko, retrouvé mort, à proximité de son domicile le 22 décembre, André Poko n’en peut plus.
« Étant parent d’enfants, je suis profondément préoccupé par la disparition de tant d’êtres dans notre pays, le Gabon. Une situation qui brise le cœur de toute la nation. Ces jeunes vies innocentes sont prises à une vitesse alarmante, laissant derrière elles une douleur immense pour leurs familles et nos communautés. Il est inacceptable que de tels drames continuent de se produire sans que des mesures concrètes soient prises pour y mettre fin.
Je tiens à exprimer mon mécontentement face à cette injustice, et je demande que toutes les forces de notre pays unissent leurs efforts pour protéger nos enfants, assurer leur sécurité et leur apporter un avenir rempli d’espoir. Il est temps d’agir avec justice, détermination et compassion pour que jamais plus personne ne perde la vie de cette manière tragique. Que Dieu bénisse notre cher pays, le Gabon ».
Peut-on lire sur son compte Facebook officiel.































































