
Le séminaire de renforcement des capacités qui leur a été offert par le Comité national olympique a pris fin ce vendredi après cinq jours non-stop de partage d’expériences avec le journaliste de France Télévision, Thierry Vildary.
Présidée par la 2e vice-présidente du Comité olympique gabonais, Edith Biyoghé, la cérémonie de clôture du séminaire de formation des journalistes sportifs avec pour thème « Journalisme et couverture d’un événement sportif mondial », a eu lieu le vendredi 22 décembre 2023 au Palais des sports de Libreville.
Débuté le 18 décembre dernier, ce rendez-vous du donner et du recevoir avec le confrère, Thierry Vildary, avait pour but de permettre aux hommes et femmes de la presse sportive gabonaise de s’approprier des règles du Comité international olympique (CIO) en matière de couverture médiatique des JO.
Aussi, au cours de cette semaine d’échange d’expériences avec le formateur français, plusieurs autres experts se sont succédé par vidéoconférence pour donner des master-classes sur les sujets tels que la préparation d’un athlète, le dopage, les paris sportifs, l’intégrité du sport etc.
Et comme si cela ne suffisait pas, Thierry Vildary a largement partagé ses multiples expériences sur l’enquête journaliste.

Au finish, c’est véritablement une mine d’informations qui a été mise à la disposition des journalistes gabonais par le journaliste français, qui dans son discours, a « remercié le Comité national olympique gabonais et l’ambassade de France qui ont eu l’ingénieuse initiative de cette formation ». Et pour lui, « l’idée de cette formation n’était en rien pour lui de venir donner un cours à des élèves, mais d’un échange entre collègues à qui j’ai ouvert mon carnet d’adresses ».
« Nous espérons que vous avez tiré profit de ce séminaire et nous vous exhortons d’en faire un héritage », a fait observer la VP Biyoghé aux journalistes, sortis de là avec des parchemins.
Respect de la tradition gabonaise, le confrère est rentré dans sa France natale avec un beau cadeau typiquement gabonais, créant d’ailleurs en lui un sentiment de nostalgie de revenir au Gabon, pays hospitalier qu’il a enfin découvert.