
Après quelques tentatives non fructueuses de mise en place entre 2018 et 2020, le président de la Fédération gabonaise de rugby pense que cette fois-ci est la bonne, avec l’engouement venu de l’INJS.
« Le rugby féminin renaît de ses cendres. Je pense que cette fois-ci est la bonne grâce au travail qui se fait en ce moment à l’INJS. Et à cette allure, le Gabon pourra même avoir l’une des meilleures sélections nationales en Afrique noire ». C’est en ces termes enthousiastes et pleins d’optimisme que le président de la Fédération gabonaise de rugby, Jean Marc Laissy, nous a récemment fait le point de la discipline.

L’INJS étant le vivier de cette nouvelle cuvée de rugbywomen, avec comme coach Jardier Okemvelé, enseignant d’EPS et conseiller pédagogique, directeur technique de la Fédération gabonaise de rugby. Ici, il faut désormais se mettre en phase avec Rugby Afrique et la Fédération internationale qui exigent désormais du rugby inclusif.

Et comme on peut bien le comprendre, « Comme avec les garçons, le travail de détection et de formation se fait avec l’appui du président fédéral et le soutien de la direction de l’Institut. Ici je travaille avec les étudiantes de l’INJS qui ont l’avantage d’être déjà des sportives ».
Il a juste fallu initier et apprendre les techniques de base de jeu pour mettre en place cette équipe. Et au regard de l’engouement (une vingtaine de filles), le coach Okemvélé ne peut faire qu’un veut légitime. « Le souhait c’est le soutien du ministère des Sports et avec le dynamisme du président fédéral, nous allons mettre du matériel et des éducateurs à disposition pour relancer définitivement le rugby féminin au Gabon », a-t-il lancé.































































