Après les obsèques nationales au gymnase d’Oloumi en présence du Premier Ministre, et de la veillée qui a suivi à son domicile, il a été inhumé samedi au cimetière du Cap Estérias.
On ne le verra plus jamais dans nos manifestations sportives, dans nos maquis et nos rencontres familiales. Après près de 70 ans de vie passé sur terre, plus d’une cinquantaine d’années au service du judo gabonais, Me Mandjombé est retourné à la poussière d’où il a été tiré.
En effet, décédé le 4 novembre 2024 à Libreville de suite de maladie, le patriarche du judo gabonais, 7e dan, ancien arbitre international et fondateur du club Jigoro Kano, a été inhumé samedi au cimetière du Cap Estérias, après les obsèques nationales au gymnase d’Oloumi en présence du Premier Ministre, de la veillée à son domicile à Agondjé.
Mais avant d’être conduit à sa dernière demeure, Me Mandjombé a reçu les hommages de la communauté Benga à laquelle il appartenait. Question d’honorer sa mémoire et supplier le Très Haut afin qu’il lui accorde une place dans sa maison. « La communauté Benga ne t’oubliera jamais. Petit frère Mandjombé vas reposer en paix », a d’ailleurs déclaré le chef de la cette communauté.
Nous sommes poussière, nés de la poussière et un jour nous retournerons à la poussière. Juste un rappel de vie à tous.