Non annoncé par le secrétariat général de l’Association des clubs de D1 et D2, finalement le président sortant reste en course pour sa propre succession.
Erreur de communication ? Complot du Secrétariat général de l’Association des clubs professionnels ? L’absence du nom du président sortant, Landry Nkéyi, comme candidat à l’élection qui devait avoir lieu ce vendredi 23 septembre laisse droit à toutes les interprétations alors que trois autres candidatures ont été annoncées.
Mais suite à la rencontre de ce mercredi soir autour de certains sages de l’Association, il nous revient que le président est bel et bien candidat à sa propre succession.
Elu le 24 novembre 2018 sur la base des textes modifiés du 5 février 2016, on ne comprend pas comment tout d’un coup, Landry Nkeyi n’était plus éligible alors qu’un procès-verbal attestant une modification de l’article 14 l’a fait élire en 2018.
En effet, dans les statuts adoptés en AG le 5 février 2016, il est dit dans l’article 14 : « Est éligible au poste de président de l’Association, tout président de club du National Foot d1 et d2 ayant au moins 18 ans le jour de l’élection ».
Puis le 24 novembre 2018, M. Nkéyi est élu suite à la modification et à l’adoption des nouveaux statuts. Et en son article 16, « Est éligible au poste de président de l’Association, tout président actif, président fondateur, président de Conseil de surveillance de club du National 1 et 2 ayant au moins 18 ans le jour de l’élection ».
Ce rapport d’AG sorti lors de la réunion de ce mercredi soir par le président sortant, ajouté à d’autres vices de forme ennoncés, ont dû faire taire certains, laissant place à la sagesse. Landry Nkéyi est donc candidat à sa propre succession mais encore loin de sa réélection.