
Pas assez de contributions des acteurs du sport, mais Rémy Ebanéga et les siens vont jeter un regard profond sur le secteur, après celui fait sur la jeunesse.
Débuté lundi dernier, l’examen des contributions à la sous -commission Jeunesse et Sport du dialogue national inclusif se poursuit ce lundi avec le sport. Composé d’une soixantaine de membres dont 5 personnes ressources, c’est l’une des sous-commissions, sinon la plus grande en termes de membres.
Parlant du sport, il nous revient le nombre moins abondant des contributions dans ce secteur. C’est d’ailleurs le cas de la presse sportive qui n’aurait malheureusement déposé aucune contribution.
Même si on aurait souhaité voir intégré un maximum de sportifs ici, l’ancien international et les siens vont adopter une méthode de travail qui sied. Se basant sur la cartographie et les enjeux du sport.
Le sport étant multidimensionnel, ici on devrait plancher entre autres sur le sport de compétition, le sport loisir, le sport des entreprises, le sport santé, le sport culturel sachant que le diagnostic général fait par les contributeurs est qu’il n’existe pas véritablement de politique sportive dans notre pays.
En s’appuyant aussi sur le secteur évènementiel, les secteurs du tourisme et des loisirs, nul doute qu’une batterie de propositions sortiront d’ici, pour le plus grand bien de la jeunesse gabonaise dite « sacrée » dans le passé alors que certains indices prouveraient qu’elle était t sacrifiée.