Il s’agit de la jeune Falana Kenza, 17 ans, étudiante en Licence Psychologie à Paris Nanterre en France et qui souhaite d’ailleurs défendre les couleurs du pays dans cette discipline assez rare.
D’ici peu, le Gabon pourrait s’enrichir d’une nouvelle athlète de haut niveau. Il s’agit la jeune Falana Kenza, 17 ans, étudiante en en Licence Psychologie à paris Nanterre en France, lanceuse de marteau et dont les statistiques sont assez convaincantes pour croire en elle.
Inscrite dans un club d’athlétisme par sa mère afin de se faire une activité sportive extra estudiantine, puis dénichée par Franck Matamba, le manager général de la Fédération gabonaise d’athlétisme en France, la jeune fille, qui était accompagnée de sa mère, Marthe Ndongo Falana, a été présentée le 29 juillet dernier au président de la Fédération gabonaise d’athlétisme, Anaclet-Mathieu Taty, en présence dusecrétaire général du Comité national olympique du Gabon, José Walter Foula, et d’autres présidents de fédérations, tous présents à Paris dans le cadre des 33e Jeux Olympiques.
Au cours de cette rencontre, la jeune athlète a été claire. « Mon ardent désir est de porter les couleurs de mon pays », a-t-elle lancé. Occasion donc pour le SG du CNOG et le Président Taty, d’examiner tous les contours du suivi et de l’accompagnement de FalanaKenza, entendu que c’est maintenant qu’on prépare les Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2026 à Dakar, et les JO de Los Angeles en 2028.
Si le président Taty s’est réjoui de cette trouvaille qui pourrait être une chance de médaille africaine ou, pourquoi pas, mondiale pour le Gabon, il s’est engagé à saisir les autorités ministérielles, dès son retour à Libreville, afin que la jeune athlète puisse bénéficier d’une bourse de sportif de haut niveau.
De son côté, au regard des atouts sportifs et intellectuels de la fille, José Walter Foula, a déclaré voir comment le CNOG pourrait faire, au plus vite, afin que la jeune compatriote puisse bénéficier d’une bourse de Solidarité Olympique.
Mais il va aussi falloir convaincre Mme Marthe Ndongo Falana, qui tient aux études supérieures de sa fille qui ne devraient nullement venir perturber la stabilité de l’enfant. Sur ce point, elle a été aussi rassurée par les deux dirigeants sportifs.